dimanche 29 mai 2011

La Ratatouille

Ingédients:
aubergine
poivrons: jaune, rouge, vert
courgettes
oignons
tomates
ail
aromates: lauriers, thym...
sel & poivre

Nettoyer et peler les légumes. Les couper en petits morceaux. Surtout ne pas les mélanger car tous les légumes sont cuits séparément (et oui, c'est long!) avec de l'huile d'olive, un peu de sel et poivre.
Lorsque cette tache est accomplie, tout mélanger dans une cocotte, ajouter les aromates. Faire mijoter à feu très doux.
Servir avec des grillades, des oeufs au plat... et conserver les restes pour un pic nic.

samedi 21 mai 2011

Fan de Jess!

J’avoue avoir regardé (et aimé) dans ma prime jeunesse la série qui a révélé Jessica Alba,  Dark Angel... Mais mon intérêt s’était arrêté là...
Depuis quelques temps, au fil de lectures de magazines (de filles),  force a été de constater que j’adorais bien souvent le style et l'allure de la belle...
Je me suis donc penchée dessus avec plus d’attention... Et effectivement, elle est en toute occasion dans un style et des goûts qui me “parlent”... J’aime particulièrement son approche du red carpet.
La preuve en quelques photos....






L’éloge des Cent Papiers

Depuis 13 ans, l’association Verbes organise la fête de la librairie indépendante, baptisée “Un Livre, Une Rose”,  en réinterprètant la tradition catalane de la Sant Jordi (ou Saint Georges). Plus de 450 librairies françaises (et depuis cette année, belges) offrent un livre et une rose à tous leurs clients...

En effet, le 23 avril était la Journée du Livre et des Droits d’Auteur. Ce jour, les librairies indépendantes, c’est à dire TOUTES (puisque personne ne va plus jamais dans des lieux tels que FNAC et centre Leclerc pour acheter ses livres, n’est ce pas?) distribuent, à chaque achat, “l’Eloge des Cent Papiers”.

Bien que la forme soit tout à fait différente, voici un ouvrage que l’on peut placer dans le même registre que “L’histoire de la lecture” d’Alberto Manguel. Il rejoint Manguel dans l’analyse des métiers gravitant autours du livre, que ce soit l’imprimerie, l’édition, la librairie, et bien entendu l’écriture... (quelques textes d’ailleurs sont des extraits de “L’histoire de la lecture”, d’une “Bibliothèque la nuit” et même des textes inédits de Manguel écrits spécialement à cette occasion...)


Sous forme de glossaire, l’ouvrage répertorie une centaine d’acceptions relatives au monde du livre, et demande à une quinzaine d’écrivains de s’emparer d’un mot de leur choix... 

Pressez-vous donc d’aller le demander à votre libraire lors de votre prochain achat (avec un peu de chance, il lui en restera...), sinon l’ouvrage est en libre consultation ici.

vendredi 20 mai 2011

Green!









glanées au hasard du net... je mettrai les références au fur et à mesure dès que je les retrouve (il faudra que je m'organise mieux par la suite, promis!)

mercredi 18 mai 2011

Une passion envahissante









Intérieurs & Déco: Karl Lagerfeld, Pamela Love, Shakespeare & Co, et autres, glanés au hasard du net...

mardi 17 mai 2011

"Une histoire de la lecture", Alberto Manguel

“Une histoire de la lecture” est un véritable éloge de la lecture dans toutes ses aspérités. Bondée d’anecdotes, de références, de petites curiosités, cette “Histoire” évoque et approfondie les cotés artistiques, historiques, scientifiques, personnels à l’auteur et commun à l’humanité des livres et de la lecture.

C’est un essai qui se situe aux frontières de l’apologie, de l’encyclopédie et des miscellanées. Mais c’est aussi un éloge de la pensée, de l’écriture, de l’imprimerie, toutes coordonnées autour de la lecture.

Alberto Manguel sait se positionner en tant que lecteur, aussi commun que vous et moi. Il évoque son enfance... “Lire m’était prétexte à rester seul, ou peut être donnait un sens à la solitude qui m’était imposée... Chaque livre était un monde en soi, et je m’y réfugiais”. De son adolescence, il évoque son premier emploi en librairie, puis celui de lecteur personnel pour Borges, devenu aveugle avec l’âge.

Comme souvent, ce qui touche le plus,  est de se “retrouver” dans les anecdotes:  ce “tic” d’étudiante que je garde aujourd’hui encore dans mes lectures, de lire crayon en main, Manguel l’évoque aussi avec Borges: “Souvent, il me demandait de noter quelque chose sur la page de garde à la fin du livre que nous lisions- la référence d’un chapitre ou une réflexion. Je ne sais pas l’usage qu’il pouvait en faire, mais j’ai pris, moi aussi, l’habitude de parler des livres derrière leur dos”.  C’est récurrent chez Manguel, et c’est aussi pourquoi j’ai tant aimé lire ce livre: les anecdotes nous parlent, et sont toujours relevées par une note d’humour, ou une licence poétique.

Il y a une réelle entreprise de référencement encyclopédique et qui n’est ni assommante ni lassante. Manguel creuse vers les racines de notre culture judéo-chrétienne en particulier: ainsi on peut apprendre par exemple que dans les premières bibles, il n’existe pas de différence entre les mots “lire” et “écrire”;  que Gutenberg imprima une bible avec des pages de quarante deux lignes chacune ( les exemplaires qui restent aujourd’hui sont les livres les plus chers au monde). “Incunable” est le terme utilisé pour désigner les livres imprimés avant 1500 (du latin incunabula, signifiant”du berceau”); l’ancêtre du livre de poche est le livre de “colporteurs”:  de petites brochures que ces derniers vendirent durant le XVII ème siècle.

Faire la liste de toutes les choses apprises dans cet ouvrage serait fastidieux, mais vous l’aurez compris, je ne peux que vous le recommander chaudement, tant il est à la fois intéressant et agréable, ce qui n’est pas si courant.

jeudi 12 mai 2011

Shae Acopian Detar

Je suis tombée dernièrement sur le très joli blog d'une photographe, Shae Acopian Detar.
J'aime beaucoup son univers à la fois XIX ème, rock, "Virgin Suicide" qui aurait rencontré une compagnie itinérante de cirque.
Je vous laisse découvrir avec quelques photos...







Dernière photo de Andrew Kuykendall


PS: Je suis fan inconditionnelle du parasol de la photo 3!!!


http://blog.shaedetar.com/

mardi 3 mai 2011

"Le jour où je me suis aimé pour de vrai"

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les étoiles.

Charlie Chaplin.